Présentation

 Présentation

 

La Chambre de Commerce et d’Industrie Franco Namibienne en Namibie a pour vocation d’agir comme une communauté d’affaires dont l’objectif principal est de représenter, conseiller, adapter, former, informer, innover et assurer un suivi les différentes entreprises désireuses d’échanger et de percer de nouveaux marchés

Namibia…A land of Opportunities

Une politique d’investissement et un secteur financier sophistiqué, des richesses minières sous exploitées, un faible niveau de corruption, l’indépendance du système judiciaire, des institutions démocratiques, liberté de la presse, faible taux de criminalité ont permis de garantir la paix et la sécurité. Tous les rapports et études laissent présager que la Namibie deviendra l’un des pays les plus riches d’Afrique en terme de PIB par habitant d’ici 5 à 10 ans.

Située entre l’Angola , l’Afrique du Sud, respectivement au nord et au sud et ses voisins à l’est, le Bostwana et la Zambie, pour lesquels elle représente le principal accès à la mer, la Namibie s’étend sur plus de 840 000 km² pour une population de près de 2 millions d’habitants.

Indépendante depuis 1990, elle a su mener une politique de stabilité et d’ouverture reposant sur 3 axes économiques majeurs : L’industrie minière, la pêche et le tourisme.

La Namibie se classe au 127e rang mondial pour le PIB par habitant. Au niveau du continent africain, elle se classe 5e en termes de revenu par habitant et 11e au niveau de l’indicateur de développement humain.

 Une politique d’investissement et de développement

La Namibie s’est fixé pour priorité d’améliorer l’environnement des affaires. Dans la droite ligne de la loi sur les investissements étrangers de 1993 (Foreign Investment Act), l’attractivité de la Namibie pour les investisseurs est garantie par un cadre législatif et réglementaire favorable, un régime qui favorise la concurrence et un faible taux de criminalité. Dans le rapport Doing Business 2012 de la Banque mondiale, la Namibie reste parmi les pays d’Afrique les mieux classés

Secteur financier

La Namibie possède un système financier parmi les plus sophistiqués, les plus diversifiés et les plus avancés d’Afrique. Selon le rapport 2011/12 sur la compétitivité mondiale, son secteur bancaire est sain et stable, ce qui la place au septième rang des pays africains. En janvier 2010, la BoN a pu adopter le cadre Bâle II, qui fixe le niveau de fonds propres réglementaires.

Toutes les banques commerciales sont privées et leurs capitaux proviennent en grande partie d’Afrique du Sud. L’une d’elles, la Standard Bank of Namibia, est détenue à 100 pour cent par des intérêts sud-africains. La Banque commerciale de Namibie est principalement aux mains d’intérêts sud-africains, français et allemands. Deux banques sont détiennent des capitaux namibiens, la Bank Windhoek (56,4 pour cent) et la City Savings and Investment Bank (46,5 pour cent; cette banque a fusionné récemment avec une société de prêts à la construction, SWABOU). La First National Bank et la Standard Bank représentent presque les deux tiers du marché bancaire.

Gestion du secteur public, institutions et réformes

En matière de gouvernance, la Namibie se classe systématiquement dans le peloton de tête des pays d’Afrique subsaharienne. Ses institutions sont démocratiques et fonctionnent correctement, la liberté de la presse et l’État de droit sont respectés, ce qui a permis de garantir la paix et la sécurité. Le pouvoir judiciaire est indépendant et les règles de responsabilité et de transparence sont globalement respectées. En général, le pays obtient une note d’au moins 4 sur 5 dans les différentes catégories de l’évaluation des politiques et des institutions (CPIA) du Groupe de la Banque mondiale,

L’existence d’un organisme indépendant de contrôle et de lutte contre la corruption et l’impartialité de l’appareil judiciaire contribuent au faible niveau de corruption observé dans le pays. Dans l’indice 2010 de perception de la corruption de Transparency International, la Namibie se classe au 56e rang mondial (sur 178 pays), en léger progrès par rapport à 2009 où elle occupait la 57e place. Au niveau de l’Afrique australe et de l’Afrique subsaharienne, elle occupe respectivement le 4e et le 6e rang des pays les moins corrompus, après le Botswana, Maurice, le Cap-Vert, les Seychelles et l’Afrique du Sud.

 Nous ne sommes pas les seuls à y croire :

(Agence Ecofin) – Selon le cabinet Frost & Sullivan, la Namibie dispose d’un potentiel énergétique considérable. « La découverte du champ gazier de Kudu et les ressources attendues pourraient aider le pays à atteindre une plus grande autonomie énergétique et réduire de manière sensible sa dépendance aux importations ».

Pour Muneera Salie, analyste chez Frost & Sullivan, le pays est très probablement sous exploré et si les ressources supposées sont avérées, « il se pourrait que ce pays devienne l’un des plus riches d’Afrique en termes de PIB par habitant au cours des cinq à dix prochaines années. »

La croissance rapide de l’industrie pétrolière et gazière est attendue d’ici à 2018, avec l’ouverture de six à huit nouveaux puits d’exploration dans les deux ans.

La croissance économique de la Namibie sera également stimulée par l’expansion des mines en Namibie, en particulier des mines d’uranium.